Les zones érogènes sont des parties du corps, extrêmement réceptives à la stimulation sexuelle. En fait, quand on les stimule, hors rapport, cela provoque de l’excitation. Et quand on les touche pendant le rapport, cela amplifie le plaisir. Il y a des zones qui sont érogènes pour tout le monde. Mais il y a aussi des zones érogènes propres à chacun. Pour information, la peau est la plus grande zone érogène du corps. Pour en tirer le maximum de plaisir, il faut connaître son partenaire.
Les zones érogènes communes
Les plus connues sont celles représentatives de la sexualité. Les organes génitaux sont des zones érogènes. Le pénis pour l’homme, le clitoris surtout, et les lèvres pour la femme. Pour rester dans ce registre, la bouche peut être une zone sensible. Un baiser est susceptible de provoquer de l’excitation. Les seins pour les femmes, mais aussi les mamelons pour les hommes. Ces derniers, par pudeur ou par machisme, admettent rarement avoir d’autres zones érogènes que le pénis. Le tout est de savoir les caresser. Ce conseil vaut pour les deux sexes. Se faire presser les seins comme des oranges est parfois plus douloureux qu’excitant. Il faut varier les caresses. Aller des effleurements aux légers baisers. Et non appliquer bêtement les gestes des « pornstars ».
Les zones érogènes inhabituelles
Il y a des parties du corps trop souvent délaissées. Pourtant, elles s’excitent autant que les autres. Ici, cela dépend de chacun. Il faut donc demander. Certaines personnes aiment tout commenter pendant l’acte. Autant en profiter pour savoir ce qu’elle aime ou pas. Le nombril, par exemple, est source de grande excitation pour des gens. Tout comme le coude ou le creux des genoux. Il est conseillé de ne pas hésiter à explorer tout le corps de son/sa partenaire. L’acte sexuel est comme une aventure sensorielle. Il faut en tirer le maximum de profits. On pourrait découvrir que le partenaire aime particulièrement qu’on lui titille le lobe de l’oreille par exemple. Le tout est d’y aller en douceur, pour ne pas risquer de tout gâcher.